Fan de rock en français (et pas juste de rock français), de chansons à textes (l’inverse existe aussi apparemment), de chemises bien repassées, de refrains accrocheurs suivis de dissonances bien radiohead-esques ? Je crois que je t’ai trouvé l’EP avec lequel tu pourras fumer une dernière cigarette à ton balcon d’un air penseur, avant d’aller boire un verre de vin à ton café préféré métro Grands Boulevards un jour de grisaille. C’est bon je crois que j’ai réussi à te peindre un tableau à peu près convaincant, en plaçant au passage deux mauvais jeux de mots. Le compte est bon. Enfin bref, j’aurai l’occasion de vous parler de tout ça plus tard, rentrons dans le vif du sujet.
Au début du mois de juillet sortait le premier EP du groupe essonien Iris, soit ving-cinq minutes de rock teinté de grunge regroupé en cinq morceaux efficaces que le quatuor gardait dans sa manche depuis un bon moment. En effet, pour avoir pris un certain nombre de fois ma bonne claque en live devant la puissance et la spontanéité du groupe, cet EP s’apparente pour moi à une photographie tout à fait réussie de tout ce qui a fait progresser le groupe jusqu’à aujourd’hui. Par là, j’entends une composition efficace, quelques touches noisy, des refrains prenants et des mélodies efficaces, une touche moderne dans un alliage de rock 90’s, du chants à deux voix qui se croisent et se complètent, et surtout un exutoire punk post-adolescent et nerveux.
Enfin bref, j’aurai l’occasion de vous parler de tout ça plus tard, rentrons dans le vif du sujet.
Après deux années de calme plat, la petite ville de Clisson s’apprête à accueillir une version survitaminée du plus grand festival de Metal français.
La première chose qui frappe chez Gwacha, c’est l’univers dans lequel le groupe nous plonge d’entrée de jeu : ce qu’on s’apprête à écouter n’est pas une simple suite de morceaux, mais un enregistrement d’une cérémonie ancestrale du peuple Gwachi, retranscrite dans sa langue originelle avec des instruments contemporains.
Nouvelle année blanche pour la plupart des gros noms de festivals… mais ce n’est pas l’avis du Printemps ! Initialement prévue en Avril, cette édition s’est déroulée du 23 au 27 Août. Retour sur notre passage à cet évènement bien particulier.
Après un début d’année 2021 marqué par plusieurs belles sorties dans le paysage rap, autant en mainstream qu’en underground, cette fin du mois de mai a été marquée par un album qui ne m’a pas laissé le choix que d’écrire un article tant il m’a touché du premier coup.
Nouvelle année blanche pour la plupart des gros noms de festivals… mais ce n’est pas l’avis du Printemps ! Initialement prévue en Avril, cette édition s’est déroulée du 23 au 27 Août. Retour sur notre passage à cet évènement bien particulier.
Après un précédent EP remarqué qu’il avait inauguré lors d’un live au Rack’Am, le Tip revient avec un quatre titres plein d’âme, qui met un peu de côté les sonorités électroniques et rétro de l’opus précédent.
Il y a des projets qui correspondent parfaitement à ce que l’on cherchait depuis longtemps, et pour nous, Metawave en fait partie. Un savoureux mélange d’indus/electro/noise aux touches orientales qui vous harponnent pour plus de 30 minutes charmantes dans un nouvel album intitulé « MEANS/END ».
C’est le 17 juillet 2020, en pleine période pandémique, que Wit. nous livre NO FUTURE. Premier album du montpelliérain qui vient définitivement asseoir son esthétique au sein de la scène rap francophone. Ici, les thématiques se durcissent au sujet de l’avenir et la production musicale se couvre d’un noir dystopique.